Monitrice-éducatrice, j'ai exercé pendant plus de 10ans dans le secteur du handicap. Durant ces années, j'ai constaté par expérience les bienfaits de la médiation animale auprès de ce public.
Je propose donc un accueil individuel ou en petit groupes sur un temps de loisir et de bien-être au contact de la nature et des chevaux.
Pour qui ?
Adultes, adolescents ou enfants en situation de handicap, maladies psychique, troubles envahissants du développement ou troubles du spectre autistique.
Intérêts et voies d'exploration
La thérapie par médiation animale cherche à éveiller des réactions visant à maintenir ou améliorer le potentiel cognitif, physique, psychosocial ou affectif. C'est aussi un outil pour développer la dextérité, favoriser les capacités mentales, retisser le lien social et rompre l'isolement.
Quelques exemples de bénéfices :
Le cheval satisfait principalement deux besoins de base de l’être humain : le besoin d’aimer et d’être aimé et le besoin de sentir que l’on vaut quelque chose pour soi-même et pour les autres. Il ne parle pas, ne juge pas et ne renvoie pas aux difficultés familiales et personnelles. Il se contente d'offrir sa présence rassurante, aimante et bienveillante.
Les séances, réalisées en petit groupe favorisent les interactions, qu’elles soient avec les chevaux, entre les personnes, avec le médiateur humain.
La neutralité et la sécurité du lieu ainsi que le format de petit groupe facilitent les échanges et l'ouverture.
Au travers de différents exercices réalisés avec les chevaux, permettre de stimuler la mémoire, les praxies, les gnosies, la représentation spatiale.
La personne est actrice des soins et du bien-être qu’elle apporte au cheval.
Les axes de travail et objectifs des séances seront définis au préalable lors d'un échange avec l'équipe éducative ou les accompagnants.
Me contacter pour effectuer un devis selon vos besoins.
« Une hormone, l’ocytocine, souvent appelée hormone du bonheur, est produite lors de l’interaction humain-cheval. Elle contribue à diminuer le stress, la douleur ou encore les comportements agressifs. L’activation de cette hormone augmente les capacités relationnelles ainsi que la confiance et diminue la dépression et les symptômes anxieux » (Beetz et al., 2010).